Guggenheim SAGA

Gilberte Favre

De New York à Bilbao en passant par Venise, le nom des Guggenheim brille au firmament universel de l’art.

Tout commença en 1847 lorsque Simon et Meyer Guggenheim quittèrent la misère et Lengnau, en Suisse, pour l’Amérique.

Avant de devenir les «magnats du cuivre», les ex-colporteurs avaient fait fortune en important de la broderie de St Gall. Ils devinrent des pionniers, des philanthropes et des mécènes.

L’auteur a choisi de privilégier la dimension humaine de cette véritable saga.

BABEL

Andrée et Louis Chedid

BABEL est composé de deux récits: une fable et une métaphore.

Dans le premier, Andrée Chedid nous fait entendre la voix d’Aél, une Babylonienne contemporaine de la Tour et ensuite celle d’une femme d’aujourd’hui, Léa, qui s’interrogera sur la réalité de ce discours.

Dans le second récit, Louis Antoine Chedid se demande si Babel ne serait pas une métaphore.

Une métaphore riche de sens qui questionnerait à la fois notre vision du Divin, notre compréhension du langage et même le pouvoir de l’ordinateur.

Regards, approches différents, parfois opposés, sont librement traités en ces deux récits.

BEYROUTH, BEYROUTH

Laurent Costantini

Beyrouth est une ville fascinante qui ne s’offre pas au visiteur trop pressé.

A la fois fougueuse et nonchalante, Beyrouth s’étale dans l’espace et dans le temps. Le temps est peut-être l’une des clés pour tenter une approche sensible de cette ville. S’est-il arrêté ou s’emballe-t-il à Beyrouth?

Promenade au fil des rues de la capitale libanaise, Beyrouth Beyrouth est aussi une lettre d’amour à une ville où tout est émotion.

René Spahr

Gilberte Favre

René Spahr a vécu les deux Premières Guerres mondiales, vu le mur de Berlin et Auschwitz… et voyagé sur presque tous les continents.

Ce Valaisan en avance sur son temps fut aussi un pionnier de l’aviation et des assurances mutuelles en Suisse romande.

«Pour que les autres générations sachent», il a retracé son itinéraire à Gilberte Favre.

Ma vie de Kurde

Noureddine Zaza

«Ma vie de Kurde» est une grande aventure humaine: l’itinéraire personnel d’un écrivain, éditeur et leader politique qui a souffert, dans son esprit et dans sa chair, pour que son peuple puisse jouir des droits humains les plus élémentaires.

Cette véritable fresque humaine rassemble plus de 120 personnages: Kurdes, Arméniens, Juifs, Grecs, Arabes, Druzes, Turcs, Français, Suisses et autres.

Il s’agit d’un document ethnologique sur la société kurde – du Kurdistan de Turquie aux régions kurdes de Syrie, de l’Irak au Liban.

Ce récit autobiographique est complété par des notices historique et littéraire.

Mémoire de Sion

Gilberte Favre

Comment était Sion, la capitale du Valais, entre 1850 et 1950?

Après avoir beaucoup voyagé, Gilberte Favre s’est mis en tête de redécouvrir sa ville natale. Elle vous la présente ici à travers les images des photographes de l’époque – les Frey, Perraudin, de Riedmatten, de Rivaz, Krebser et Schmid – qui, en près de 300 photos, ont immortalisé plus de cent familles sédunoises.

De Calpini à Zimmermann,  vous plongerez ainsi dans le passé d’une ville à la fois secrète et passionnée.

Grâce à la qualité du regard des photographes, «ce livre de la mémoire», agrémenté de légendes et de poèmes, témoigne d’un quotidien à la fois proche et lointain.

Sarreyer dans les années 1960…

Gilberte Favre

Ce livre est le fruit d’une rencontre et d’une amitié entre un auteur et un photographe amateur éclairé. Tombé amoureux de ce village bagnard et doué de talents multiples, ce politicien et poète valaisan, disparu en 2011, a laissé à ses enfants un classeur de photos de Sarreyer dans les années 60.

Installée à Sarreyer depuis 1999, Gilberte Favre a eu le privilège de se voir offrir ces précieux documents.

Grâce aux propos des témoins oculaires, elle a tenté un retour à Sarreyer dans les années 60.

Légendes de photos et poèmes accompagnent cet itinéraire photographique.

SURVIVRE

Gilberte Favre

Dans la capitale d’un pays en guerre, qui pourrait être au Moyen-Orient, un père et son fils de trois ans sont séparés. Orphelin de mère dès sa naissance, Alexis disparaît pendant que Thomas subit l’enfermement et la torture. De longs mois, une question obsessionnelle habitera sa vie d’otage.

«Où es-tu, mon petit garçon? Manges-tu à ta faim? Es-tu heureux, es-tu vivant?»

Une fois libéré et accompagné d’un précieux viatique – l’amour de la nature et de la poésie —, Thomas part à la recherche de son fils. Sa quête se prolongera durant quinze ans…

Situé au cœur d’une actualité récurrente – la drame des «disparus» provoqués par les guerres et autres révolutions – SURVIVRE est aussi un émouvant cri d’amour paternel.